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Architecture écologique

Architecte à Marseille spécialisée dans les réalisations de maisons écologiques en bois et d'extensions de maison en bois. Réalisations dans les Bouches-du-Rhône, le Var, le Vaucluse, la Drôme, le Gard, l'Hérault et l'Ardèche.

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Expérimentée en milieu rural, j'accompagne les projets d'habitat et d'équipement en zone agricole pour les agriculteurs en bio-production, permaculture, biodynamie (avec une approche géobiologique).

Une architecture écologique s'inscrit dans son environnement

Une architecture écologique tente de respecter son environnement et son habitat premier, la Terre.

Elle tente de prendre en compte le paysage dans lequel elle s’inscrit, de trouver une relation à son environnement, à ce qui est déjà présent.

Pour réduire l’impact sur son habitat premier, elle privilégie l’utilisation des matériaux biosourcés renouvelables comme le bois, la paille, la terre, le chanvre,... et des matériaux issus du recyclage ou de réemploi, au tant que faire ce peut en circuits courts et en limitant le plus possible le bilan carbone du matériau (transformation, fabrication, transports).

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Une architecture écologique capte l'énergie du soleil

Par son orientation et son enveloppe, elle tente de trouver les moyens de capter l’énergie solaire et par ses matériaux, la capacité de la conserver pour déphaser sa diffusion et réduire les besoins en chauffage (les nuits d’hiver) ou de s’en préserver (les jours d’été avec évacuation naturelle la nuit).

C’est la conception bioclimatique.

Une architecture écologique porte une dimension économique et sociale

Elle s’inscrit dans une démarche de reconnaissance et de valorisation des savoir-faire, de prise en compte de l’humain, du travail de l’humain et de sa transmission.

La co-conception avec une équipe d’artisans est de ce point de vue essentielle.

La recherche de ces savoir-faire locaux participe au bon sens du projet (connaissance du milieu) et à la démarche de recherche de circuits courts.

Le rôle de l’architecte

L'architecte est alors co-concepteur plutôt que prescripteur d’une technique. Le bon sens appelle parfois, dans certains contextes de projet, à travailler avec des techniques conventionnelles en rapport aux savoir-faire présents localement.

Le co-travail avec une équipe en amont permet une approche globale du projet, notamment pour la thermique de la construction et la gestion écologique des eaux et des déchets.

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Et ceux et celles qui habitent alors ? Ils – elles sont le sens du projet.

La définition du programme selon leur projet de vie et leur budget est un préalable.

L’écoute de leurs besoins guide le projet tout au long de sa réalisation.

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